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LES VACCINS
RÈGLEMENT DES COMPÉTITIONS FFE DISPOSITIONS GÉNÉRALES août 2017 PAGE 8/47
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- Protection sanitaire : vaccinations Principe Sont obligatoires toutes
vaccinations réglementaires prescrites par arrêté ministériel ou
préfectoral.
La vaccination contre la grippe équine est obligatoire pour participer à une compétition.
Pour
être considéré comme vacciné contre la grippe équine, tout équidé dont
la primo vaccination est antérieure au 1er janvier 2013 doit avoir fait
l'objet :
a)
D'une primo vaccination constituée de deux injections de vaccin
antigrippal séparées par un intervalle de temps compris entre 21 et 92
jours;
b) De rappels ultérieurs tels que l'intervalle entre deux injections n'excède pas 12 mois.
Pour
être considéré comme vacciné contre la grippe équine, tout équidé dont
la primo vaccination est postérieure au 1er janvier 2013 doit avoir fait
l'objet:
a)
D'une primo vaccination constituée de deux injections de vaccin
antigrippal séparées par un intervalle de temps compris entre 21 et 92
jours;
b) D'un rappel ultérieur à 5 mois, l'intervalle entre deux injections n'excédant pas 6 mois ;
c)
D'un rappel annuel, tel que l'intervalle entre deux injections n'excède
pas 12 mois. Un cheval peut concourir à partir du moment où il a reçu
sa primo vaccination, c’est-à-dire après son 2ème vaccin.
Un poney/cheval ne peut participer à une compétition dans les 7 jours qui suivent une injection.
Défaut de vaccination, conséquences : Le contrôle doit être porté sur le livret de l’équidé par l’officiel de compétition.
L’équidé est autorisé à concourir, l’équidé est déclaré en défaut de vaccination.
L’équidé sera contrôlé lors de la prochaine compétition à laquelle il participera.
En
cas de nouveau défaut de vaccination constaté dans les 12 mois,
l’équidé n’est pas autorisé à prendre le départ et ne peut plus être
engagé.
L’interdiction est levée dès justification auprès de la FFE d’une vaccination conforme au protocole de primo vaccination.
LES PLANTES TOXIQUES
https://www.toxiplante.fr/monographies/iris_fetide.html
1-
Jacobée ou séneçon ou herbe de St-Jacques : généralement, pas consommée
à l’état frais par les chevaux, sauf en cas de rareté d’herbe, on peut
la retrouver dans le fourrage et qui une fois sec est consommé par le
cheval. Amaigrissement, anémie (perte de globules rouges, avec des
muqueuses qui deviennent pâles), constipation, troubles nerveux.
2-
Acacia commun ou robinier : il suffit de 150 grammes d’écorce pour
entraîner des troubles digestifs mortels (coliques spasmodiques), forte
sudation, et des troubles nerveux (troubles de la démarche, convulsions,
paralysies…)
3-
Faux-ébénier ou cytise : son ingestion par le cheval provoque une forte
sudation, des tremblements musculaires et parfois des convulsions. La
mort peut survenir si les muscles respiratoires sont atteints soit
environ dès 250 grammes de baies ingérées.
4-
Belladone : l’ingestion de feuilles, de fleurs ou de baies provoque des
troubles importants, comme un affaiblissement généralisé, des troubles
nerveux, de la constipation conduisant à la mort.
5 – Laurier-cerise : son ingestion peut conduire à la mort après des troubles respiratoires et éventuellement nerveux.
6
– Le laurier-rose : plante ornementale qui n’est pas très appréciée
par les chevaux mais qui est très toxique, voire mortelle. Toute la
plante est toxique et 30 à 60 gr de feuilles suffisent à tuer un cheval
et il n’existe aucun traitement efficace. Les troubles sont
essentiellement digestifs, cardiaques, nerveux et respiratoires, avec
mort par asphyxie.
7
– Digitale pourpre : en règle générale, les chevaux évitent cette
plante mais une ingestion de 150 grammes suffit à paralyser le système
respiratoire du cheval et à le tuer.
8-
If : souvent dans les cimetières et sur les terrains calcaires Moins
d’une centaine de grammes ingérés peuvent être fatals au cheval et il
n’existe ni traitement efficace ni antidote.
9
– Datura : à l’état frais son odeur permet au cheval de s’en tenir à
l’écart mais une fois coupé les chevaux peuvent se laisser tenter.
Tachycardie, insuffisance cardiaque, sècheresse des muqueuses,
constipation, dilatation des paupières, troubles de la vision et
hyperthermie.
10
– Le millepertuis : plante à fleurs jaunes très répandue en France et
qui provoque une photosensibilisation.Rougeurs, cloques, suintement,
démangeaisons et agitation, atteinte rénale possible. Le traitement
consiste à garder l’animal à l’ombre jusqu’à guérison et à traiter les
plaies suivant prescription du vétérinaire.
11- La fougère aigle : les chevaux ne la consomment pas spontanément
mais
peuvent en être friands en fin d’été.Troubles nerveux, faiblesse,
tremblements musculaires, spasmes, convulsions… Le risque de mortalité
est important. Colique, fièvre, puis fourbure et coagulation
intravasculaire disséminée.
12- L’érable : provoque la myopathie, urine rouge foncé ou brune, manque d’oxygénation, destruction des globules rouges,
13- Le thuya : il est responsable de coliques graves en cas d’ingestion massive.
14-
La prêle : elle contamine essentiellement le fourrage et les troubles
apparaissent après une dizaine de jours environ d’ingestion quotidienne.
Troubles de l’équilibre et de la démarche, une urine éventuellement
foncée, puis la mort.
Un traitement à base de vitamine B1 donne souvent des améliorations.
ESTIMER LE POIDS DE SON CHEVAL:
En bleu circonférence de la cage thoracique au niveau du passage de sangle, en rouge hauteur au garrot.
Déesse 202 pr 165 au garrot
L'argus du cheval à l'Arlésienne
L'argus du cheval à l'Arlésienne
Extrait de l’éperon numero 313 juillet 2011
Extrait de l’éperon numero 313 juillet 2011
Maintenant reste à savoir selon l’appréciation de chacun le travail déjà acquis sur le cheval où les facilités pour l'acquérir.
Extrait de la chambre syndicale du commerce de chevaux